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Que trouve-t-on sur ce blog ?

Bienvenue sur le blog d'Angevani Ce blog vient illustrer 3 grandes passions : le monde des énergies , le monde des pensées , le monde d...

Que trouve-t-on sur ce blog ?

Bienvenue sur le blog d'Angevani



Ce blog vient illustrer 3 grandes passions :

  • le monde des énergies, le monde des pensées, le monde du "Rien",
  • l'expression du "Rien" au travers de peintures et dessins  (voir la page),
  • l'écriture d'un livre sur le "Rien" intitulé "En direct de maintenant" (voir la page).

Je propose des prestations en lien avec ces thèmes :

  • Une reconnexion à votre "Rien" (en présence ou a distance par téléphone ou webcam) (en savoir plus).
  • La possibilité d'acquérir des peintures et dessins inspirants et énergisants (voir la page).


On trouvera également sur ce blog, des thèmes liés à:

Livre "En direct de Maintenant " / Comment est votre "Rien" ?

Vous avez lu le livre ? Félicitations, votre courage sera dignement récompensé par l'execution de ce petit questionnaire :


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Merci !

En direct de maintenant (volume 7)

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Le jugement premier

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- D'abord, il y a le monde, sa projection, l'expression d'une pensée originelle qui prend une forme physique parmi tout ce qui est possible. En gros, on ouvre les yeux, on contemple. Parmi les formes, on s'aperçoit soudain qu'on peut les nommer : déjà employer le mot "forme" puis préciser avec des mots tels que "sol", "ciel", "fauteuil", "claquettes" si on est francophone bien entendu. Mais il manque quelque chose, non ? Une saveur à tout cela...

- En parlant de tes claquettes, quand même, elles sont ignobles ! Une insulte à celui qui les porte mais aussi à l’œil innocent qui les regarde.

- Voilà, c'est parfait : il manquait le Jugement !

- Ben quoi, c'est vrai non ? Tu les apprécies tant que ça ?

- Je dirais que c'est plus une histoire de confort. Bref. Je te propose un petit voyage.

- Ah super ! Rio de Janeiro ? Punta Cana ? 

- Non, on a pas besoin de fuir si loin ! Non, plus proche.

- Ah alors, Madrid ? Lisbonne ?

- Tu cherches le soleil, non ? Non, c'est plus proche et à la fois plus vaste !

- Tu me perds là. Paris ?

- Non, dans le "Rien".

- Ah bah ça valait le coup de faire du suspense si c'est pour ne pas bouger ! T'appelles ça un voyage ? L'agence de voyage qui vous amène à "Rien" n'a pas une longue vie devant elle !

- Tu es bien bougon ce matin. Et puis tu oublies qu'avec la réalité augmentée, tu paieras bientôt des voyages pour lesquels tu ne bougeras pas d'un millimètre ! Mais revenons à nos moutons. Laisse-moi tout de même te faire visiter. 

- Bon, ben quand faut y aller...

- Ferme les yeux.

- Un voyage ou on voit rien en plus !

- Et tais-toi.

- Sympa l'ambiance !

- Peux-tu retourner à ce que nous avons nommé "Rien" précédemment ?

- Avec plaisir mais comment ? Ah ! Attends je sais ! Je prends la dernière phrase "Ah ! Attends, je sais" et je "regarde" d'"où" elle sort. Ensuite, j'attends la prochaine phrase ou image qui me vient en tête et je fais pareil jusqu'à m’apercevoir qu'en réalité, ces phrases et images émergent d'elles-même depuis...."Rien".

- Impressionnant !

- Je suis bougon mais attentif comme voyageur.

- On y est ?

- Oui, je sens bien bien le "Rien" là. Mais bon, pas sûr qu'on puisse prendre des photos ou ramener un souvenir.

- Quand je vais te demander d'ouvrir les yeux, attention, ça va aller très vite : Il va te falloir ouvrir les yeux en considérant que ce que tu vois est vu pour la toute première fois. Vas-y !

- Ok. J'ouvre les yeux et...je te signal que tu as mis ta tasse directement sur la table et que ça fait une marque ! Je déteste ça.

- Bon, c'est raté.

- Ben quoi ?

- C'est allé très vite. Tu as ouvert les yeux et puis....

- ....et puis j'ai vu la pièce puis mon attention s'est portée sur cette tasse que tu as posée directement sur la table en laissant une trace. Beurk !

- Qu'est ce que tu as vu en premier en ouvrant les yeux ?

- Ben, je t'ai dit. La pièce puis la tasse que tu....

- Oui oui, je sais ! Ah, quand il est bougon celui-là ! Quand tu as ouvert les yeux, avant de décrire les objets, tu les as aperçu sous leur forme. D'abord, il y a le constat de la présence de formes.

- Disons que si je ne pouvais pas nommer, j'aurai constaté une forme puis une autre puis encore une autre.

- Le monde apparaît alors sous une forme générale dans laquelle il y a d'autres formes qu'on peut distinguer.

- Je suis pour l'instant.

- Ce n'est qu'ensuite que tu les as nommé, n'est-ce pas ?

- En décortiquant de la sorte, je pense que c'est cela effectivement. Cette forme "cubique" est appelée "pièce", cette forme "cylindrique" est appelée "tasse", cette forme "circulaire" est appelée "tâche faite par un cochon".

- Tu n'en démordras pas...

- "Rien" ne me changera !

- Quand on ralenti autant le processus, on s’aperçoit qu'il y a un certain "laps de temps" entre le constat d'être en train de regarder, puis de nommer ce qu'on voit et enfin de le juger.

- Après, on est pas tout le temps en train de juger quand même. Si je te montre cette chaise et te dit qu'elle est bleue, ce n'est pas un jugement mais un constat.

- C'est juste. On peut s'arrêter là. En toute honnêteté, il m'est cependant difficile de trouver des choses que je ne juge pas. Cette chaise que tu décris pourrait finir par "ne plus être à sa place" et donc, déplacée. Je ne la considère pas bien où elle est, tu vois ?

- Certainement, attends je réfléchis. Quand on est face à quelque chose qu'on ne connait pas, on a pas forcément d'avis sur la question non ?

- Ne vas-tu pas porter un a priori ? Qu'il soit positif ou non ? Trouve moi quelque chose, une situation, un objet, sur lequel on ne porte pas de jugement.

- J'y travaille justement. On est sur le "bien" et le "mal" en quelque sorte.

- Tout juste ! Les deux pieds dedans.

- Il me semble pouvoir me balader et regarder ce qu'il y a autour de moi sans poser de jugement. Quand bien même ce ne serait pas permanent, je ne peux pas affirmer qu'il n'existe pas un temps où je suis dénué de jugement sur ce que je vois. Il ne me semble pas me dire systématiquement en voyant un arbre qu'il est beau ou, au contraire, qu'il n'est pas à sa place par exemple. Je ne peux pas faire cela pour tous les objets que je vois !

 - Exact ! Il nous faut de l'attention. Il faut que l'attention se fige sur quelque chose en particulier pour porter un jugement. Quand je dis en particulier, c'est une manière de focaliser plus sur une chose qu'une autre, rien a voir avec la taille d'un objet.

- On peut tout aussi bien focaliser sur le crayon là que sur l'ambiance générale d'un lieu où on rentre.

- Voilà, est ce qu'on peut raisonnablement penser que pour qu'il y ait jugement, il faut une attention portée ? 

- Une sorte d'entonnoir qui va nous permettre de trier dans tout ce qu'on voit ou ressent quelque chose de bien précis.

- Mais encore une fois, si pour juger, il faut porter une attention sur ce qu'on juge, qu'est-ce qui choisit de porter l'attention plus sur une chose que sur une autre ?

- Purée ! On en revient à la même chose ! Je t'aurais répondu en temps normal que c'est "Moi" qui porte l'attention. J'aurais même dit "qui choisit de porter l'attention". Mais au regard de tout ce qu'on à vu précédemment, "Moi" est une pensée qui provient d'un "Rien". 

- Du coup, au même titre que les pensées "viennent", on pourrait dire que c'est l'attention qui "se porte" d'elle-même sur quelque chose.

- Oui et pire encore, le jugement qui est porté ensuite, lui aussi est une pensée qui "vient" !

- Alors "Moi" est au contrôle de quoi au juste ?

- Aïe Aïe Aïe, plus on avance et moins j'ai le contrôle. Les gestes se font, les paroles se disent, les pensées viennent, l'attention se porte, le jugement vient. Tout cela en provenance d'un "endroit" qu'on nomme "Rien". 

- "Moi", "Je", semble être une sorte d'acteur qui se croit au contrôle d'une personne qui "mène" sa vie. Aux commandes d'un véhicule sans volant ni pédales d’accélération ou de frein. 

- Je panique là. Au feu !!! Si je me concentre, je vois ma jambe bouger nerveusement toute seule. Je vois ces mots qui "viennent" sans contrôle. J'ai l'impression de n'être qu'un réflexe ambulant !

- Reviens à "Rien". "Je panique là, au feu !" et tout ce que tu viens de dire sont des pensées !

- Mais je me sens oppressé comme si on m'étranglait. Mon corps réagit à tout cela, c'est bien réel. Je le ressens. Pourquoi mon corps réagit à ce point. Cette histoire, le corps y croit, il la vit. Ces sensations participent au fait que je me sente piégé, vulnérable à l'idée de n'avoir aucun contrôle.

- Oui, je le sens moi aussi. C'est désagréable pour moi. Peut-être est-ce une sensation différente pour ceux qui participent aussi à cette exploration. Mais on en revient encore à la même chose. Le corps réagit à la pensée. Qu'elle lui dise de faire une action et qu'elle lui raconte une histoire, le corps exprime la pensée.

- Oui, là par exemple, l'idée de ne pas être au contrôle de ma vie génère un jugement mauvais. Précisément, je me sens menacé. Menacé d’inexistence. Et mon corps l'exprime en une sensation d'étouffement, de mal être.

- Souviens-toi qu'à tout moment de l'exploration, tu peux revenir à "Rien", à cette invincibilité, au spectateur premier. 

- Comme reprendre de l'air à la surface !

- Voilà ! Du coup, je me demande pourquoi chacun le ressent différemment ? Certains doivent vivre cela comme une délivrance. D'autres s'en contrefichent sûrement. En d'autres termes, pourquoi la réaction du corps au jugement est-elle différente selon les situations ? Il y a là encore quelque chose que nous n'avons pas exploré. Le jugement est une pensée, certes, mais le corps ne l'interprète pas toujours de façon identique selon les situations. On est pas tous d'accord ! Un même individu peut même "changer d'avis".

- On avait dit auparavant dans la situation du bus qui te fonce dessus que très rapidement un processus était à l'oeuvre pour "évaluer la situation" et générer donc une pensée qui permet au corps de réagir.

- Comment la situation est-elle "évaluée" ?

- Oui, il faut que "bus qui me fonce dessus" = "Danger".  C'est un jugement. Il y a donc une pensée qui a décrété le danger.

- Résumons, "Rien" puis "pensée" puis "jugement" puis "réaction du corps". Quelque chose nous a échappé entre "pensée" et "jugement".

- Attends, "Rien" puis "Il y a une tâche sur la table" puis "je me rappelle que cela me répugne, ce n'est donc pas bien" puis "j'agis en conséquence en le disant ou en le nettoyant".

- Tu t'es rappelé que cela te répugne ! On la tient !

- Qui ça ?

- La mémoire !

[Peintures/dessins] Portes du Karma

 

Portes du Karma...

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Elle reconnaît sa nature, sa source et ne voit plus qu'elle...

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Je suis en colère, aide moi s'il te plaît !

 - Tu sais, j'aurais beaucoup de choses à dire si je le devais.. avant tout ces comportements qui m'irritent. En ce qui concerne les gens qui m'insupportent ce sont mes parents. Ma mère, tous les soirs, est sous alcool et est violente, tous les soirs. Mon père,  qui est irrité en permanence, par ma mère, son travail, et X qui ne fait qu'envenimer les choses avec ma mère. Moi je joue de psychologie et j'arrive à la calmer, elle va dormir. Lui, dans la minute qui suit, il m'engueule en disant que je suis à côté de la plaque, et ma mère, revient parce qu'elle l'entend crier....etc (c'est une boucle sans fin, ça peut durer 2, 3 ou 4 heures)

Remarque que quelque chose en toi voudrait autre chose que cette situation. 

Remarque que cela réagit de la même façon à ce qu'il voit ou entend vis a vis de situations bien précises. 

Remarque que ton corps subit cette réaction. 

Ton corps agit dans l'environnement non pas dans l'espoir d'apaiser les autres mais dans l'espoir de s'apaiser lui-même.

Mieux encore: tout cela t'oriente vers l'extérieur de toi, l'environnement et dit: "C'est l'environnement le responsable de mon mal être." Il s'agit d'une pensée à laquelle ton corps croit.

Mais remarque qu'à aucun moment, on fait demi-tour pour se demander d'où provient cette pensée. C'est pourtant sous nos yeux.

Regarde la pensée originelle, celle qui te dit que cette situation est intolérable. Celle qui te dit que tu n'en peux plus. D'où sort-elle ?

C'est la question la plus fondamentale et de loin. Et c'est tellement simple, tellement insignifiant, que notre attention n'y fait pas...attention car l'attrait pour l'histoire que raconte la pensée est fort.

Si tu as la prétention de stopper tout cela, ce mal être en toi, mets ton énergie dans la quête de cette pensée car si je t'en parle, c'est que visiblement tu en es capable aujourd'hui.

Si a un moment donné tu parviens à identifier cette pensée, surtout ne cherche pas à la détruire ou la modifier. Regarde la juste passer. 

En faisant cela, symboliquement, tu dis : "Je ne suis pas cette pensée, je n'y crois pas." Du coup, ton corps ne s'y identifie pas. 

Tu feras juste le constat que cette pensée existe et qu'en ce moment beaucoup de pensées de cette sorte émergent dans ton esprit. 

Et bien cela, c'est la même chose que de dire: "Ces temps ci, il pleut." C'est très différent de dire cela que de sortir dehors pour essayer de stopper la pluie...

[Peintures/dessins] De saison

 

De saison...

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Figée.

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Merci à mon maître du moment :. Chaîne Youtube Dranitsin

[Peintures/dessins] A l'aube d'une nouvelle nuit

 

A l'aube d'une nouvelle nuit

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J'entends le silence s'éveiller.

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