Article de bienvenue !

Que trouve-t-on sur ce blog ?

Bienvenue sur le blog d'Angevani Ce blog vient illustrer 3 grandes passions : le monde des énergies , le monde des pensées , le monde d...

15) Mystique prend du terrain

The mystic show !

Ma facette mystique souhaite que je rentre dans les Ordres. Te l'ai-je raconté ? Mais "père de famille" n'opine pas du chef à ce sujet et demande gentiment à mystique de retourner crécher dans son église. Mystique, étant particulièrement en jambe ces temps ci, a trouvé la solution pour se faire entendre: attendre que papa s'endorme et sortir la nuit. Que le spectacle commence !
Voici comment il procède : il entre dans mes rêves, plutôt des cauchemars d'ailleurs et me réveille en sursaut. Des frissons intenses parcourent mon corps pourtant emmitouflé sous 3 kilomètres d'épaisseur de couverture. Et il tourne autour de moi en une sensation qui s'approche de "j'ai un message à faire passer. Quelque chose en toi comprends mais ton intellect non. Donc, prends ton mal en patience et laisse moi faire mon bazarre. Par contre, j'ai besoin que tu restes éveillé pour cela. Merci, bisous."

Autant ce que je viens de décrire, à la rigueur, ça fait des années que ça dure. Autant, ces derniers jours, on atteint des sommets. Le bougre de mystique m'a mis ni plus ni moins en relation avec Jésus et Marie. Oui, je sais, je perds la moitié des lecteurs. Mais sur 2 lecteurs, il me reste toi. Et bien tu fais bien de rester car ça vaut le détour. D'ailleurs si tu lis cela, c'est que cela doit te concerner mon ami (oui, on est ami du coup).


La suite, je suis en train de l'écrire. Patience mon ami, patience.

14) Fin de ce jeûne

Point de parcours

On ne sort pas d'une période d'abstinence alimentaire sans préparation, quand bien même cette restriction fut plutôt courte (et oui 2-3 jours sans manger, les amis, c'est un jeûne court !). Je surveille alors mon envie frénétique de manger car je sais que cela peut très mal se passer (lire "Le jeûne", d'Herbert Shelton, ou les vidéos de Fabien Moine, pour plus de précision). Le premier auteur cité recommande un demi jus de fruits frais (plutôt d'orange) à renouveler toutes les heures si besoin par la suite. On peut également prendre un bouillon de légume dans les mêmes proportions. Le retour à l'alimentation normale doit se faire de manière progressive étalée sur autant de temps qu'à duré le jeûne. J'introduis donc les jus de fruits et les bouillons de légume le premier jour, puis une alimentation plus solide (fruits et légumes), et ainsi de suite en allant progressivement du plus digeste au moins digeste.

Un nouveau palier

La reprise alimentaire se passe bien. Gourmet réclame son dû, comme attendu et je ne lui oppose pas de résistance.  Ce n'est pas excessif à mon goût et je peux mettre en pratique la poursuite d'une alimentation principalement à base de fruits et de légumes. J'ajoute qu'il m'est également assez facile de respecter les combinaisons alimentaires (on trouvera une bonne référence chez Désirée Merien sur ce sujet).

12) Notes sur ce jeûne

Point de parcours

Nous sommes dimanche soir et me voila rendu à environ deux jours d'arrêt de l'alimentation sous toutes ses formes hormis la prise de l'huile de ricin que j'ai choisis de mélanger cette fois-ci avec du jus de pomme frais. Ce n'est pas une grande réussite. Je ne sais pas si le corps n'apprécie pas le mélange où si c'est parce que le corps s'est souvenu de la première prise de cette huile. Comme pour les autres expériences du même type, les 24 premières heures sont maintenant parfaitement gérables et finalement les 24 suivantes sont bien plus compliquées ! 
J'ai travaillé normalement, joué avec mes enfants, mené une vie classique comme si de rien n'était. Mais dès que vos proches passent à table, c'est parfois un supplice, même en changeant de pièce car le Gourmet fait surface. Il imagine les goûts, hume les odeurs, élabore des recette à l'aspect goûteux, juteux, dégoulinannnnnnnnnt. Alors que faire ? Je sais que si je vais à l'encontre de mon Gourmet, le retour de bâton à la reprise alimentaire (à prendre avec d'infinies précautions, j'en parle plus loin) risque d'être complexe à gérer mentalement et, plus tard, la compensation par une sur-alimentation pourrait pointer le bout de son nez. Quelle marge de manœuvre me donnes-tu Gourmet ? Est-ce juste un petit temps où tu te manifestes ? Est-ce l'heure de se réalimenter ? Le repas se termine dans notre chaumière, les odeurs se dispersent, les assiettes sont vides. Patatra ! Gourmet s'en est allé. 

En réalité, la gêne est plutôt corporelle. Je remarque que je dois faire plus attention lorsque je passe d'une position statique (assis, allongé) à une position dynamique. Le corps semble prendre toute l'énergie qu'il a non pas pour alimenter les muscles mais bien pour éliminer. En parlant de cela, l'huile à fait beaucoup plus d'effets que la dernière fois avec des passages à la case WC bien plus fréquents. J'imagine que je vous épargne les détails, n'est ce pas ?

Comme finalement tout va bien, je bois un fond d'eau car j'ai soif. Cela me suffit et je décide de prolonger l'expérience même si je ne suis pas totalement serein car savoir que cela fait maintenant deux jours que je n'ai rien avalé à tendance à faire ressortir un nouveau personnage : le Prudent. "Je remarque que je dois faire plus attention..." prudente remarque n'est-ce pas ?

13) Laissez moi vous présenter Prudent et Fatigué

Des petits "nouveaux" : le Prudent et le Fatigué

Vous reconnaîtrez j'imagine tous votre propre Prudent. Il est assez paradoxal celui-là. Il peut être peureux et rebrousser chemin à toute jambe (Prudent de la Préhistoire) et il peut aussi être peureux aller tout de même à l'affrontement. Il jauge aussi vite que possible les forces et les faiblesses quant à ses capacités d'action à l'évènement qui lui est proposé. Ses armes principales sont sa capacité à modeler l'environnement et la mémoire. Il faudra qu'on en parle un de ces quatre de la mémoire.

Je ne m'écarte pas trop du sujet car mon Prudent agit merveilleusement bien sur mon environnement et là, tout de suite, il a tenté de le faire en me faisant rédiger le paragraphe du dessus et le début de digression.

Voici à peu près son discours : "Tu as déjà suffisamment expérimenté, regarde, quand tu t'es levé tu as vu quelques points noirs". "Tes jambes flagellent par moment, c'est mauvais signe". "Est-ce une bonne idée d'attendre demain pour rompre le jeûne ?" "Et si ça se passait mal pendant la nuit ?" "Et si demain tu ne pouvais pas emmener ton fils à l'école ?" Il use donc de la peur, du doute et va chercher dans votre mémoire ce qui pourrait vous toucher pour filtrer les informations et ainsi, avoir raison.

Le Fatigué, y a-t-il besoin de le présenter ? "Je n'en peux plus, arrêtons ici, on reprendra une autre fois" "C'est déjà pas mal mais là, j'en peux plus" "C'est au delà de mes forces". Voici à peu près son discours là, tout de suite. Le Fatigué possède les mêmes armes : doute/peur, mémoire, pose des filtres devant les yeux pour contrôler l'environnement dans le but, je vous le donne en mille, d'avoir raison.

11) La place de mystique et nouvel élan

Premiers effets


Mystique semble satisfait car des sphères hautes perchées semblent vouloir se manifester. Je dis cela mais en même temps, je semble chercher cela au fond de moi également. Bref, tout le monde est content.

Mystique empiète cependant sur mes nuits, quelques fois le jour. Un compromis semble à trouver car le jour, j'ai une vie de famille et un travail. Toutefois, ce mode d'alimentation n'empiète quant à lui pas du tout sur mes "performances" physiques journalières. Il faut dire aussi que ma pratique physique consiste à me rendre à ma voiture, en descendre, me rendre de ma voiture à mon bureau, m'asseoir, me relever, aller à ma voiture...tu as saisis ou je poursuis ?
Début de la troisième semaine
Les pensées se font rares, c'est flippant. Mystique est très à l'aise et veut rentrer dans les ordres, pour dire les choses clairement. Cependant, au risque de répéter, j'ai une vie de famille et un travail (c'est le père de famille qui cause). Incompatible avec le monastère. En même temps, je me demande si il n'y a pas d'autres façon de vivre la vie monastique. Est-ce intégrable dans le quotidien de monsieur et madame tout le monde ?

Intestinalement parlant, rien à signaler, c'est comme si je ne mangeai pas. Aucun signe de digestion, aucune perte d'énergie après manger. Les seuls moment où je ressens cela c'est lorsque je fais un "écart". Cependant, cet écart nourri en moi le Gourmet avec qui je tatonne donc main dans la main.

Il y a du nouveau, je reçois en effet le sentiment profond qu'une purge doit être fait dès demain soir. Ce sera celle à l'huile de ricin. Du coup, demain matin je ne prendrai qu'un jus de fruits frais. Et je ne mangerai pas de la journée jusqu'au soir. Vers 21h, je prendrai 4 cuillères à soupe d'huile et je jeûnerai sans eau pendant au moins 24h et je prolongerai autant que je le peux. Ne me demandez pas de vous expliquer comment s'est effectuée la prise de décision de faire celà. C'est quelque chose qui vient vous attraper comme une évidence. De manière aussi évidente qu'on tombe amoureux (on est bien d'accord qu'il est mal aisé de concevoir le lien en la purge et l'amour là tout de suite, je vous l'accorde très largement mais vous ne m'en tiendrez pas rigueur n'est-ce pas ?).

10) Des aliments "sains" ? + nouvelles facettes: le mystique et le gourmet

Manger principalement cru ?


Nous sommes début mars 2021 et, pour des raisons que j'expliquerai ailleurs, l'enquêteur refait surface après quelques mois d'absence dans les méandres de mon être. Il est accompagné d'un personnage que je n'ai pas présenté : le mystique.  

Ils souhaitent s'engager dans l'expérience du manger majoritairement cru avec pour point de mire une nouvelle série de purges suivies de jeûnes. 

Qu'à cela ne tienne, allons-y, je sonde en moi si je suis dans un cycle adéquat et c'est le cas, tout simplement car ces personnages prennent facilement place dans mon quotidien. Rien à forcer, je ne ressens pas que c'est une lubie non plus. 

Enquêteur veut savoir pourquoi Mystique quémande du cru. 

Voici le protocole qui m'est apparu en cohérence avec le cycle en cours :


- environ 16h sans repas par jour,
Tout en respectant les principes de combinaisons alimentaires :
- jus de fruits ou fruits entiers sur un repas,
- légumes crus ou légèrement cuits sur un autre repas,
- des apports en lipides crus,
- des apports en protéine provenant de sources les moins transformées possibles,
- être attentif aux cycles courts des élans. Dès que je détecte un manque ou une envie trop forte pour d'autres aliments, je ne force jamais, je cède si l'envie est trop forte. J'autorise l'imperfection dans l'expérience. Je fais place à un autre personnage que j'ai envie de nommer : le gourmet.

Concrètement : 

Première semaine :
- lundi: premier repas vers midi avec des bananes, pommes et dattes mixées avec une cuillère de purée d'amandes et du lait d'avoine. Deuxième repas, le soir, avec concombres, carottes, épinards, roquettes crus. Un morceau de comté et basta ! (Et non, pasta! )
- mardi : idem
- mercredi : repas acheté le midi en sandwicherie (je prends en compte mon environnement de travail et le gourmet qui me fait signe), un goûter avec les enfants l'après midi et crudités le soir.
- jeudi et vendredi: pareil que lundi et mardi
- samedi et dimanche : seuls les 16h sans repas sont tenus, le reste, c'est free style selon les envies. Le gourmet me dit merci.

Deuxième semaine :
- Idem lundi et mardi dernier mais sur plus de jours, quelques "écarts" par-ci par-là mais tout cela ressemble a une décroissance alimentaire progressive pour moi. Le gourmet se fait très discret bien que je surveille drastiquement ses apparitions.

Note : 

Attention les zamis, ce que j'appelle décroissance progressive pour moi ne l'est pas pour tout un chacun...
Je rappelle seulement que cela fait quelques années que des tris drastiques ont été faits dans mon alimentation. Je ne passe pas tout à fait du jour au lendemain au "régime" expliqué au dessus. Autrement, ce qui va se passer est que vos cycles ne seront pas respectés et vous allez revenir presque à votre alimentation de base en un rien de temps. Respectez vos cycles nom d'une pipe ! (je ne pensais pas dire ce genre de phrase un jour). Concrètement, des personnages en vous vont vous rappeler que vous ne pouvez les négliger bien longtemps. Un gourmet, par exemple, peut être ancré en vous depuis l'enfance. Il a en ce sens une force de persuasion qui peut être considérable. Travaillez donc avec lui et non contre lui. 

Merci. La direction.

9) Purge : experience de vidange...mais pas pour la voiture

Huile de Ricin et chlorumagène : le purgatoire


Continuant mes investigations, je croisai le chemin des vidéos et écris d'Irène Grosjean et du Dr. Miguel Barthéléry. 

Le fond du message fortement résumé est :

- 1/ nettoyez votre tuyauterie (intestins, humeurs et sang compris), 
- 2/ ensuite, seulement, apportez une alimentation propre à la digestion d'un humain dans cette belle tuyauterie, 
- 3/ résultat: étant nourri de manière adaptée, vous digérez facilement donc vous pensez mieux et vivez mieux. 

Très bien ! Alors en premier, nettoyons la tuyauterie ! 

Mon enquêteur ayant pris note des conseils des auteurs et respectant les précautions, j'avalai mes cuillères à soupe d'huile de ricin suivi d'un jeûne sec de 24h. L'huile fit son travail dans la norme attendue a priori. 

En revanche, il avait été aussi décrit de possibles crises d'élimination. J'en fit l'expérience sept jours plus tard avec le réveil d'une douleur cervicale intense qui se propageait dans la mâchoire et se transforma en un gentil abcès. Cela dura sept jours encore avant le départ de ce gentil compagnon (gentil est ironique ici, la douleur était une épreuve, sincèrement). 

J'enchaînai deux semaines plus tard avec le chlorumagène dont les effets furent beaucoup moins ennuyants. Rien a signaler niveau effet. 

L'idée était pour moi d'en faire une première expérience, de voir dans mon corps unique si la vérité des auteurs était la mienne.

8) Un nouveau cycle, avant goût de purgatoire...

Sel d'Epsom et décoction de persil

Au cours du printemps 2020, un nouveau cycle semble s'être terminé avec l'arrivée de l'enquêteur. J'ai ressenti à ce moment là le besoin de me nettoyer de l'intérieur. Je tombai alors sur une vidéo d'un proche d'Irène Grosjean (dont je ne trouve décidément pas le nom). Celui-ci ventait les vertus du sel d'Epsom pour le nettoyage des intestins ainsi que les décoctions de persil pour le nettoyage du foie. Je m'exécutai et, autant je n'ai pas ressenti quoique ce soit de particulier avec le persil, autant le sel d'Epsom a été bougrement efficace.

7) Retour de l'enquêteur

 

Fin des rhumes et pharyngites, au revoir, bisous !

Même si mon évolution côté alimentation semblait stagnante, je m'aperçu soudainement que quelque chose manquait dans mon paysage: les rhumes, pharyngites, trachéites. 

Nous sommes fin 2019, et je m'aperçois que cela fait presque 2 ans que j'échappe aux rhumes et pharyngites en tout genre. Mon pallier atteint restreignait considérablement les apports en lait de vache de toute sorte et de pain. Coïncidence ? Je m'aperçu de tout cela en voyant ma compagne et mes enfants enchaîner les "désagréments hivernaux et printaniers" sans que je ne fut aucunement touché, sans que je ne prenne aucune précaution de distance ou de restriction de bisous ! 

Ce constat fit l'effet d'une bombe. Je repris le costume d'enquêteur. Un beau matin, la moustache se remis à frisotter...

6) Ensemble, jeûnons ! (Je ? Non !) ;)

Deuxième entre-actes (oui, deux à la suite, ne cherchez pas) : le jeûne

Entre 2018 et 2019, cet élan (l'enquêteur) s'est de nouveau présenté de manière sporadique mais chirurgical. Il semait quelques graines, par ci par là. L'une d'entre elle fut l'étape de la découverte du jeûne et ce, après la lecture d'un livre dont vous peinerez à croire le titre : 

"Le jeûne", d'Herbert Shelton. 

Cela fit l'effet d'une bombe dans la mesure et ce que je lisais mettait en mot ce qui m'avait par moment interpelé mais sur lequel je n'avais pas posé encore de concept.

J'entrepris alors de temps en temps, de prolonger ce qu'on appelle mon "jeûne intermittent" (laisser environ 15h entre deux repas) et de voir jusqu'"où" je pourrais aller. L'utilisation du mot jeûne ici est utilisée au sens stricte : privation de nourriture avec eau (jeune hydrique) ou sans eau (jeune sec).

Premiers résultats : Dans tous les cas, les premières 24h sont tolérables mais les 24 suivantes sont abjectes dans la mesure où je vis littéralement le syndrôme de manque. Pas le petit manque qui chatouille mais le vrai manque. Ceux qui ont vécu comprendront. Les dessins animés où le personnage voit des meubles se transformer en frite bien grasse pourrait être l'expérience qui s'en rapproche le plus. 

Je ne poursuivis jamais plus de 3 jours ces expérience car ayant une vie de famille, cela était difficilement compatible. La raison principale étant l'apparition de la fatigue. Cependant, poursuivre plus longtemps l'expérience ne me poserait vraisemblablement pas de problème dans d'autres conditions.

5) Description d'une facette : l'enquêteur

Premier entre-actes : le bon sens

Les facettes qui m'accompagnent semble être personnifiées. Celui qui chercher ses réponses alimentaires, je l'ai nommé "l'enquêteur" ou "l'explorateur". Mais dans ma tête, c'est du concret. Je le sens dans mon attitude, ma façon de parler. Quand il est là, si je le laisse prendre place, il le fait volontiers et surtout, pas à moitié. Il constitue une des innombrables facettes de ce qu'on appelle "personnalité".

Mon enquêteur a une particularité. Quand bien même quelqu'un lui explique quelque chose avec beaucoup d'aplomb, de pouvoir de persuasion, il aura tendance à en prendre note plutôt qu'à se jeter les deux pieds dedans. Toutes les expériences réalisées par l'enquêteur sont faites pas à pas. Il veut vérifier leur paroles et non les boire. Il veut sentir leur vérité dans la chair, me comprenez-vous ? Il jouit de l'art de remettre en question. Il veut des faits et non des dogmes. Mes quelques années de recherche scientifiques y sont peut-être pour quelque chose après tout. Cependant, toi qui lit cela me comprends-tu certainement...ou pas.

Quoiqu'il en soit, cela clarifie je l'espère sa manière d'aborder les choses jusqu'à présent. Il a simplement dressé un état des lieux avec, il est vrai, quelques jugements par ci par là mais il s'agit là de l'intervention d'autres  facettes car l'enquêteur de juge jamais.

4) Les cycles

Nous sommes, semble-t-il, cycliques

Ce que j'appelle les cycles, c'est s'apercevoir que l'élan pour une action (exemple : décider de prendre en main son alimentation) peut s'émousser du jour lendemain, et ce, aussi rapidement qu'il a émergé. L'élan est plus fort que vous, il pousse, fort, dans une direction. Vous marchez avec ou contre. Il suit un dessein qui lui est propre et ne se souci guère des facettes qui nous habitent.

Je me retrouvai donc du jour au lendemain à me demander ce que j'étais en train de faire avec l'alimentation. J'avais l'impression d'en avoir fait un problème. 

Coïncidence ou non, cela s'est passé au changement de saison entre l'été et l'automne . J'ai soudainement ressenti le besoin de manger chaud et gras. Vous me direz avec aplomb qu'à priori, là, mon coco, ça semble logique car très commun. Ça casse pas trois pattes à un canard.

Nous étions en 2018 et cela a duré jusque fin 2019. Je restai tout de même assez proche du pallier alimentaire atteint auparavant mais avec de fort retours réguliers de tout ce que j'aimais manger avant. 

J'ai vraisemblablement tenté de prolonger un cycle sans écouter profondément le nouvel élan qui était celui du changement (interprétation du moment) et j'ai senti qu'au fond de moi quelque chose bloquait.

3) Un peu trop d'enthousiasme

Un peu trop d'enthousiasme 


Étant tellement étonné par ces résultats, j'entrepris alors d'étudier un peu plus profondément la question. J'ai lu de nombreux livres, regardé énormément de vidéos. Les auteurs les plus marquants parmi eux ne sont, à mes yeux, pas ceux des best-sellers mais plutôt les suivants : Fabien Moine, Nicolas Gozzi-Ostapchouk, Irène Grosjean, Désiré Mérien, Albert Mosseri, Herbert Shelton, Thierry Casasnovas...

Les vertus prétendues de ces changements alimentaires me paraissaient tels que je décidai du jour au lendemain d'adopter une alimentation à base de fruits et de légumes. J'excluais presque tout autre sorte d'aliments. Je me mis donc en expérimentation assiduement.

Devinez la suite. 

Cela n'a pas duré !


J'ai très vite senti une sensation de manque. Je ré-introduisait de si, delà, des aliments que j'avais tenté d'enlever pour l'expérience me disant que : "Une fois de temps en temps ce n'est pas coutume!". Et c'est devenu coutume !

J'exagère car, en réalité, j'ai plutôt atteint une sorte de palier. De nombreuses aliments transformés avaient toutefois été définitivement radiés car j'avais clairement identifié que certains d'entre eux étaient la source de certains de mes maux (c'est simple à identifier : tu le manges et tu as mal au ventre, plus complexe, tu meurs). 

Ce que je venais d'expérimenter par cette sorte de "régression", était ce que je comprendrais plus tard être un principe cyclique.